Le mot vietnamien "cúm rúm" peut être traduit en français par "recroquevillé" ou "replié sur soi-même". Il décrit une position ou une attitude où quelqu'un ou quelque chose est replié, souvent en raison du froid, de la timidité, ou d’une certaine vulnérabilité. C'est un terme qui évoque une image de protection ou de repli.
Dans la langue quotidienne, on peut utiliser "cúm rúm" pour parler d'une personne qui se sent mal à l'aise ou qui veut se protéger, comme lorsqu'elle se blottit dans une couverture. Par exemple : - Exemple simple : "Il s'est assis dans un coin, cúm rúm, parce qu'il avait froid."
Dans un contexte plus littéraire ou poétique, "cúm rúm" peut être utilisé pour décrire un état émotionnel ou psychologique. Par exemple, on pourrait dire : - Exemple avancé : "Après la mauvaise nouvelle, elle restait cúm rúm dans son fauteuil, perdue dans ses pensées."
Il n'y a pas de variantes directes de "cúm rúm", mais on peut le voir utilisé dans différents contextes pour décrire des états similaires de repli.
En plus de son sens littéral de repli, "cúm rúm" peut également être utilisé de manière figurative pour décrire des personnes qui se ferment émotionnellement ou qui évitent les interactions sociales.
Des synonymes de "cúm rúm" incluent : - Ngồi co ro : S'asseoir en se repliant. - Khép nép : Se refermer ou se cacher.
En résumé, "cúm rúm" est un mot qui exprime l'idée de repli, que ce soit physiquement ou émotionnellement. Il est utile pour décrire des moments de vulnérabilité ou de protection.